Poème de Pablo Neruda : Il meurt lentement … celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux. Il meurt lentement … celui qui détruit son amour-propre, celui qui ne se laisse jamais aider. Il meurt lentement …celui qui devient esclave de l’habitude refaisant tous les jours les mêmes chemins, celui qui ne change jamais de repère, ne se risque jamais à changer…